lundi 31 décembre 2012

MEILLEURS VOEUX

Nous souhaitons à tous une Bonne Année 2013.
Que celle-ci soit remplie de Joies et de Bonheur.
Que la Santé vous accompagne tout au long de cette nouvelle année.
Voyagez, réussissez vos projets, faites-en de nouveaux,
en clair.... éclatez-vous!!!!!
Et au plaisir de vous voir... en Sicile, en Lorraine, en Normandie, en Bretagne... ou ailleurs
2 fois plus de bonheur
0 soucis
1 sentiment de bien-être
et 3 fois plus de bonnes surprises
 pour une année 2013 heureuse
2013 bisous
L'équipage d'IMAGINE
 

dimanche 30 décembre 2012

DIEPPE

4ème épisode ... virée France
A l'attaque.... après les travaux à Nantes et quelques jours de repos à l'arrivée sur Dieppe, il est temps de se remettre au boulot.

Denis se met à la tapisserie des toilettes
Ambiance psychédélique

Alors çà te plaît ton nouveau "p'tit coin"????

Pendant ce temps, je m'attaque à de nouveaux coussins pour le salon.

Frédéric a acheté une machine à coudre sur le Bon Coin juste avant notre arrivée.... elle va être rapidement amortie
Un assortiment de tissus beige, marrons et liberty..

Et voilà, le tour est joué.... les autres avaient vraiment fait leur temps!!!!

Noël arrive à grands pas, alors Frédéric se met au sapin. 
Oh , qu'il est beau....
Mais Noël n'est que dans une bonne semaine, alors nous profitons du calme relatif de l'avant dernier week-end pour se faire une promenade à Rouen. Comme vous pouvez le constater, le ciel est bien gris et, comme l'an dernier lors de notre passage dans cette ville, c'est sous la pluie intermittente que nous ferons la visite.

Cathédrale Notre Dame

Eglise Sainte Jeanne d'Arc
Le vaste monument qui s'élève depuis 1979 sur la place du Vieux Marché où elle a été brûlée répond à une double reconnaissance : c'est à la fois une église pour honorer sainte Jeanne d'Arc et un mémorial civil pour commémorer l'héroïne célébrée par la France le deuxième dimanche du mois de mai. A Rouen, les fêtes Jeanne d'Arc ont lieu le dimanche le plus proche du 30 mai. Son architecte, Louis Arretche, a voulu renouer avec la tradition de beaucoup de vieilles églises normandes en donnant à l'édifice la forme d'un bateau renversé : il a pour cela retrouvé les principes de la construction navale traditionnelle et la structure en bois reste apparente au-dessus de la nef.
L'extérieur, résolument moderne, évoque la mer avec une couverture d'écailles en ardoises ou en cuivre.

Les rues du vieux Rouen
Le Gros-Horloge
Le beffroi gothique abrite depuis sa construction à la fin du XIVe siècle, les cloches communales et l'horloge de la ville.
Le Gros Horloge est un pavillon de la Renaissance qui enjambe la rue par une arche surbaissée. Sur le double cadran Renaissance, l'aiguille unique pointe l'heure.
Sous le chiffre VI, la divinité qui symbolise le jour de la semaine apparaît, à midi, sur un char de triomphe.
Au-dessus du cadran un globe indique les phases de la lune.

Enfin, une fontaine Louis XV complète l'ensemble et célèbre les amours du dieu fleuve, Alphée, et de la nymphe Aréthuse.



Partout des moutons rappellent l'importance du travail de la laine. L'agneau pascal, représenté au centre de l'arcade, symbolise les armes de la ville.


On s'arrêterait bien là pour se réchauffer en prenant un bon thé mais, dommage, pas de place... ce sera pour une autre fois.
Située au coeur de la ville, la cathédrale Notre-Dame de Rouen est un monument où l'on peut lire toute l'évolution de l'art gothique. La construction de l'édifice a été entreprise au milieu du XIIe siècle, à l'emplacement de la cathédrale romane dont on a conservé la crypte. Une centaine d'années plus tard, elle était achevée mais elle fut remaniée et terminée au cours des siècles suivants. La façade représente ainsi un précieux témoignage de l'évolution de l'art gothique du milieu du XIIe siècle jusqu'au début du XVIe siècle. La jolie tour lanterne a reçu au XIXe siècle une flèche en fonte qui s'élève à 151 mètres !

Fondée vers 750, l'abbaye de Saint-Ouen fut l'un des plus puissants monastères bénédictins de Normandie. Après la Révolution, la municipalité s'installe dans l'ancien dortoir des moines, beau bâtiment classique du milieu du XVIIIe siècle. L'église abbatiale, que beaucoup de visiteurs prennent pour la cathédrale tant ses proportions sont majestueuses, se dresse au sein des anciens jardins du couvent. Bien que sa construction ait duré plus de deux siècles, l'édifice présente une remarquable unité car ses bâtisseurs successifs ont su rester fidèles au projet original. Saint-Ouen est ainsi l'un des rares exemples du gothique rayonnant.

Voilà, l'escapade rouennaise est terminée... retour sur Dieppe

Le lendemain, il fait un temps magnifique alors, hop, on prépare les sacs à dos et on part vers Arques la Bataille.

Bien entendu, les trois loulous font partie de l'expédition.... eux aussi sont contents de prendre l'air.
Et voilà, c'est partie pour presque 1 heure autour de ce magnifique château
Situé sur un promontoire crayeux, le château d’Arques-la-Bataille est une référence exemplaire de l’architecture militaire du Moyen-Age. Il domine la ville, petit pôle culturel jouissant d’un patrimoine historique et architectural très intéressant.

Construit sur un éperon rocheux, classé au titre des monuments historiques depuis 1875, le château d’Arques-la-Bataille a été édifié dans la première moitié du XIIe siècle, sur l’emplacement d’une ancienne motte castrale. C’est dans ce lieu, marqué par l’histoire, au pied de ses remparts, qu’en 1589, le roi de France Henri IV mit en déroute une armée de ligueurs conduite par Charles de Mayenne, comptant plus de 30.000 hommes.

Les fossés sont creusés à même la roche, dans l'éperon rocheux ce qui créée un fossé sec et une ceinture rocheuse autour de la forteresse
Belle vue sur la vallée
Le château d’Arques fut démantelé dans le siècle dernier. Il n’en reste plus que des ruines informes, qui dominent encore au loin la vallée. Quelques auteurs font remonter ses origines aux Romains, d’autres aux enfants de Clovis ; quelques-uns placent sa construction au temps de Charles Martel et de Pépin. Guillaume le Bâtard, surnommé dans la suite le Conquérant, ayant fait don, à son avènement au trône ducal, du territoire d’Arques à son oncle Guillaume, l’un des fils de Richard II, ce fut ce nouveau propriétaire qui fit élever le château, dont les ruines apparaissent encore aujourd’hui si grandes et si imposantes.
En 1708, Louis XIV déclare la vieille citadelle "impropre au service". Abandonné militairement à partir de 1668 le démantèlement de l'édifice commence au début du XVIIIème siècle. Louis XVI désaffecte la citadelle dont les habitants sont autorisés à prendre les pierres. En 1793, le monument est vendu comme bien communal.

En 1836, une bande noire se propose d'en assurer la démolition complète et d'en revendre les matériaux. Un mouvement d'intérêt pour cette ruine formidable s'organise et des amateurs passionnés l'achètent pour lui éviter cette destruction. En 1860, des pièces furent aménagées en musée.
En 1868, L'état en devient propriétaire et le classe Monument Historique en 1875. Ce musée existait encore à la veille de la guerre 14-18, voire même après, mais ferma définitivement en 1939. Pendant la seconde guerre mondiale il fut occupé par l'armée allemande. Il servit de poste de surveillance avec D.C.A et un dépôt de munitions y fut même installé.
A la fin des années 70, un gardien commentait les visites.

Actuellement, on ne peut qu'en faire le tour et admirer le paysage.

Après cette belle balade, nous redescendons dans la vallée et nous rejoignons la voie verte Londres/Paris.
Celle-ci emprunte l'ancienne voie ferrée qui a été recouverte de bitume. L’Avenue Verte rejoint ici d’immenses plans d’eau, anciennes ballastières, qui sont le refuge des oiseaux et un fabuleux repaire pour les pêcheurs à la ligne.


Tout au long de cette voie, on peut admirer de belle demeure normande
Allez, c'est parti pour environ 5kms
L’Avenue verte London <> Paris est un formidable itinéraire cycliste de 406 Km, dont 246 km de Paris à Dieppe, pour l’option la plus courte. Une variante très agréable longe la vallée de l’Oise vers Chantilly et Beauvais.
Le tronçon français emprunte huit départements : Paris, la Seine-Saint-Denis, les Hauts-de-Seine, les Yvelines, l’Eure, le Val d’Oise, l’Oise et la Seine-Maritime. Entre Cergy-Pontoise (Val d’Oise) et Saint-Germer-de-Fly (Oise), deux options sont possibles soit par la vallée de l‘Epte et le Vexin (au total 246 km), soit par la vallée de l’Oise (au total 312 km).
La traversée de la Manche se fait entre Dieppe et Newhaven. Elle est assurée avec 13 dessertes par semaine en 4 heures environ.
La partie britannique s’appuie sur le réseau national des itinéraires cyclables (National Cycle Network) en particulier les routes 2, 21 et 20.
On en fera pas autant.... mais c'est bien tentant!!!!

L'essentiel du tracé de l'Avenue verte emprunte l'ancienne voie ferrée qui, avant la réalisation du tunnel sous la Manche, reliait de la façon la plus rapide et directe Londres et Paris par voies terrestre et maritime. Si les trains ne passent plus depuis longtemps, de nombreux éléments de ce patrimoine ferroviaire prestigieux ont été conservés : barrières, signaux, bâtiments de service, telle l'ancienne gare de Neufchâtel-en-Bray, aujourd'hui gare de l'Avenue Verte.

Il fut aussi décidé de conserver les repères crées par les compagnies ferroviaires :
Les PN correspondent aux passages à niveau, numérotés de 63 (Beaubec-la-Rosière) à 104 (St-Aubin-le-Cauf). Les PN permettent de se repérer facilement sur l'Avenue verte et de se donner rendez-vous. Ils sont indiqués sur les cartes de détail et sur les panneaux routiers aux abords de la piste


Les anciennes maisons des gardes barrières ont été réhabilitées et jalonnent notre parcours

Un arrêt casse croûte dans un relais pique-nique et retour .... 12kms au total avec notre promenade château.
Bien sympa cette journée...

Post suivant... les fêtes!!!!

samedi 29 décembre 2012

DIEPPE

3éme épisode
Notre voyage continue... nous voici à Dieppe pour....?????.... on ne sait pas encore!!!!! c'est sûr, jusqu'à Noël, après, on verra.
Et pour commencer, une petite promenade en bord de mer

Puis le long des quais où nous découvrons un magnifique Langoustier... le Tante Fine  diminutif de Tante Joséphine ... un ancien dundee langoustier. C'est un des derniers dundee à avoir été fabriqué de façon traditionnelle avec une coque en chêne.
Il a été construit en 1960 et lancé en juillet 1961 à Plouhinec face d'Audierne, en partie financé par la tante Joséphine de trois marins pêcheurs, d'où son nom de baptême. Il a fait ses campagnes de pêche à la langouste le long des côtes de Mauritanie et au thonà la ligne dans le golfe de Gascogne. Ces techniques de pêche révolues, il pêche aux casiers en Bretagne Nord et jusqu'en Mer d'Irlande jusqu'en 1986.
Jugé trop vieux, il est resté à l'abandon à quai de Perros-Guirec. Il était dans l'état d'épave quand l'association fécampoise I.S.M.M./A.F.D.A.M. l'a découvert et en a fait l'acquisition en 1991.
Il a été restauré au chantier naval de Fécamp à partir de plans de vieux gréements locaux.
Plus de 10 000 heures de travail ont été nécessaires pour sa remise en état dans le cadre de chantiers de jeunes et de réinsertion.




Juste à côté, Le Michel et Patrick dit le Milpat, est un ancien langoustinier du Guilvinec. C'est un des rares représentants des « malamoks », bateaux de pêche artisanaux et polyvalents construits en Pays Bigouden de 1930 à 1970.
Il fut lancé en 1962 pour pratiquer la pêche, essentiellement en mer d'Irlande et dans le Finistère sud. Il avait une coque en chêne, deux mâts de charge et un chalut à potences latérales.
Désarmé, racheté, rénové, il navigue à nouveau depuis 2008.
Puis nous nous rendons au château de Miromesmil où s'est installé un Marché de Noël. Le temps d'un week-end, le château se pare des couleurs de Noël. Au pied d'un sapin gigantesque dressé dans le hall, une trentaine d'exposants proposent des produits gourmands, des objets décoratifs artisanaux, des bijoux etc. La grande cuisine du château se transforme en salon de thé, où crêpes, fondants au chocolat et autres délices permettent de passer un bon moment au coin du feu.
 Il est le lieu de naissance officiel de Guy de Maupassant.

Tiens, tiens.... ça vous dit quelque chose!!!!!
Il y a vraiment d'étranges ressemblances!!! Piiiirates.....

En semaine, nous sommes seuls, alors on profite de belles journées ensoleillées pour faire des promenades... au port!!!

et sur les falaises


Sur les hauteurs, Notre Dame de Bonsecours.
Dominant la falaise est de la ville tel un phare, l'église Notre Dame de Bonsecours fut construite en 1876 et appartenait alors à la Société de secours mutuel. Les dieppois s'étaient en effet engagés à édifier un lieu de culte dédié aux marins, lors de l'inauguration du calvaire de la jetée, seize ans auparavant.
Cette chapelle fut tout d'abord un lieu de pèlerinage, puis un lieu dédié à la mémoire des marins disparus en mer.



Iko est, lui aussi, très content de sa promenade et de nos rencontres.

Sur la falaise, encore quelques bunkers, restes d'une partie de l'histoire de Dieppe.
Le débarquement de Dieppe ou opération Jubilee fut une tentative ratée de débarquement des Alliés en France occupée, menée le 19 août 1942 sur le port de Dieppe. Cette opération laisse un goût amer aux Canadiens, car le quart des troupes engagées périt. Voyant que l'opération tournait mal, les commandants auraient dû l'interrompre rapidement.
Dans l'aube brumeuse d'un jour d'août 1942, une armada de 250 navires de toutes tailles se dirige vers les côtes françaises de la Manche. Elle mobilise près de 8 000 hommes dont plus de 2 000 y laisseront leur vie, pour ce qui sera le plus grand raid de la Seconde Guerre mondiale. 74 escadrilles de chasseurs et de bombardiers en assureront la couverture aérienne.
Pour la première fois dans la Seconde Guerre mondiale, des hommes vont se ruer à l'assaut de ce que les nazis appellent Festung Europa, la « Forteresse Europe. »
Le 19 août 1942, à 4 h 45, les troupes canadiennes et deux commandos britanniques accompagnés de 50 rangers américains et 15 soldats « Français libres » vont débarquer, sur un front de 20 km en quatre points de la côte de part et d'autre du port de Dieppe où sera porté l'effort principal une demi-heure plus tard. Depuis Berneval et Puys, à l'est, jusqu'à Pourville et Quiberville, à l'ouest. Une côte inhospitalière, bordée par des plages de galets que surplombent les parois verticales des falaises que l'état-major allemand a truffées de défenses de toutes sortes : batteries de canons à longue portée, mortiers, nids de mitrailleuses, bunkers bétonnés, emplacements de tir individuels. Des réseaux de fil de fer barbelé hauts de plusieurs mètres encerclent la ville et obstruent les rares ravines qui permettent d'accéder au sommet des falaises où l'ennemi s'est retranché. C'est à l'assaut d'une véritable forteresse que 5000 hommes vont se lancer. 1200 d'entre eux y trouveront la mort et 3000 y seront blessés ou faits prisonniers.

La mer s'est retirée et on aperçoit le platier où les pêcheurs à pied peuvent venir chercher coquilles et crevettes.

Il se fait tard, le soleil se couche et la température se rafraîchit... il est temps de rentrer.
C'était vraiment génial. Nous sommes allés jusqu'à Puys... quelques kilomètres... çà fait de bien.
Au retour, Iko est fatigué et en profite pour se faire câliner un peu.

Encore une belle journée... une promenade... et par chance, nous assistons au déchargement d'un coquillard.






La principale technique employée pour pêcher la coquille Saint-Jacques est celle de la drague : une armature métallique qui permet de fouiller le fond et de déterrer, puis de récupérer les coquilles enfouies. Cette pêche réglementée commence le 1er octobre et se termine le 15 mai.
 Avec ses 47 navires, Dieppe est le premier port de Haute-Normandie. C'est aussi le premier port coquillier français.



 Le port de plaisance, qui comporte 450 anneaux, est situé dans le cœur historique de la ville, à proximité des commerces. En haut de la falaise, on aperçoit la Chapelle Notre-Dame-de-Bonsecours, lieu de notre dernière promenade et ancien lieu de pèlerinage des marins dieppois prêts à embarquer
 Le Quai Henri IV fait face aux bateaux de plaisance et affiche, outre une série de commerces et de restaurants, une harmonie architecturale agréable à contempler



Sur les quais, l'Hôtel d'Anvers


Construit en 1609 puis reconstruit en 1697 ( date qui figure sur son fronton) , l'Hôtel d'Anvers est situé Quai Henri IV, l'ancien Grand Quai. Entre 1996 et 1998, il a fait l'objet d'une rénovation.

Cour intérieure

Un magnifique bas-relief représentant la ville d'Anvers orne le porche de l'Hôtel côté cour intérieure.

 Depuis de nombreuses années, au début du mois de juillet, le port de plaisance accueille les bateaux du tour de France à la voile. Une étape qui est appréciée par les skippers. C'est aussi une étape de la Solitaire du Figaro.


Grâce à la liaison transmanche, Dieppe n'est qu'à 4 heures de Newhaven (sud de l'Angleterre). La ligne connaît un nouvel essor avec la mise en service du Côte d'Albâtre, le premier des deux nouveaux navires de la Transmanche Ferries qui assurent la traversée fret et passagers durant toute l'année.
Il va vraiment falloir qu'on s'organise une petite escapade de l'autre côté... ce serait vraiment bien.
Et pour terminer notre tour d'horizon, le château...

Et la porte des Tourelles.
Construite au XVe siècle en grès et silex et remaniée plusieurs fois, la porte dite des Tourelles est constituée d'un passage voûté, flanqué de deux tours circulaires que couronnent deux toits coniques. Cette porte est la seule subsistante des sept anciennes portes de la ville, dont cinq donnaient sur la mer. Elle constitue avec le château et le mur de rempart près de l'ancienne Tour aux crabes, un des derniers vestiges des fortifications de la ville. Celles-ci furent édifiées sans doute dès le XIe siècle puis régulièrement reconstruites pour finalement être détruites au XIXe.
Au cours des siècles, les Tourelles portèrent plusieurs noms dont Porte du port d'Ouest et servirent de prison, sans doute depuis la fin du Moyen Age jusqu'en 1825, date à laquelle les prisonniers furent transférés dans la nouvelle prison construite au Pollet, à l'emplacement du couvent des Capucins.
Après avoir appartenu à des particuliers, les tourelles abritent aujourd'hui le siège de l'association chargée du festival international des cerfs volants qui se tient à Dieppe tous les deux ans depuis 1980.

Photo prise par Frédéric lors du dernier festival en septembre 2012.


Et si vous voulez voir Dieppe un peu plus, j'ai trouvé un blog très sympa
avec en  avril 2009 des pages sur le fameux hôtel d'Anvers
Allez, on arrête de se promener. Noël approche ... Denis veut faire quelques travaux et moi un peu de couture alors au boulot.