On en avait envie depuis un moment ....une belle plate-forme arrière....mais tout ce qu'on voyait sur les autres bateaux ne nous plaisait pas. Et là, bingo... on a trouvé la bonne idée et le bon artisan.
Voilà ce que ça donne.
Préparation du travail... après, l'échelle sera démontée
Et voilà..1ère petite plate-forme...40X50
Et la seconde
Les deux... ouvertes.
Sécurisé d'un coté par une chaînette, de l'autre par un taquet bien épais et bien large..
Deux jours plus tard...on récupérait l'échelle, avec des marches!!!
Et voilà.... tout replié...pour ne pas ajouter de la longueur au bateau quand on est dans un port pointilleux... ça peut coûter cher sur la facture même 50 cms de plus!!!
Et déplié pour faire un petit plongeon au mouillage ou prendre sa douche un peu plus à l'aise... le pied!!!
jeudi 30 novembre 2017
La nature à notre porte
Eh oui, pas beaucoup d'activités festives pendant ce mois. De plus, le vent a beaucoup soufflé et les températures se sont rafraîchies... surtout la nuit....Alors on est plus souvent sur le bateau. J'ai fait beaucoup, beaucoup beaucoup de tricot... snoods, bonnet, béret... et on a aussi beaucoup lu.
La nature a changé. Les terrains des rizières sont à nu et la marina s'est, elle aussi, vidée tout doucement alors les oiseaux sont devenus nos nouveaux voisins. Ils se promènent sur les pontons...s'installent au soleil...c'est très agréable.
La sortie du port...juste au bout de notre ponton...


Un matin...à coté du bateau.

Quelques rayons de soleil...j'en profite!!!!
Coucher de soleil
Petit foulque...il y en a des dizaines..
Les rizières ...au repos jusqu'au printemps prochain.
L'effervescence de l'été est bien loin... mais qu'est-ce que c'est beau!!!!
La nature a changé. Les terrains des rizières sont à nu et la marina s'est, elle aussi, vidée tout doucement alors les oiseaux sont devenus nos nouveaux voisins. Ils se promènent sur les pontons...s'installent au soleil...c'est très agréable.
La sortie du port...juste au bout de notre ponton...
Au fur et à mesure que les minutes passent, les couleurs changent... c'est magnifique!!!!
Coucher de soleil
Petit foulque...il y en a des dizaines..
Les rizières ...au repos jusqu'au printemps prochain.
L'effervescence de l'été est bien loin... mais qu'est-ce que c'est beau!!!!
Libellés :
Espagne,
San Carles de la Rapita
Pays/territoire :
Carrer del Carme, 3D, 43540 Sant Carles de la Ràpita, Tarragona, Espagne
mercredi 15 novembre 2017
Petit cours de musique
Comme vous l'avez entendu sur toutes les chaines de télévision, la Catalogne est, depuis plusieurs semaines en pleine crise d'indépendance. Manifestations, référendum...légal, pas légal... violences, beaucoup d'événements se sont passés avec, en toile de fond, des gens attachés à leur identité. Me prononcer sur le bien-fondé de tous ces événements n'est pas du tout le propos de ce post. Non, nous ce qui nous a marqué lors de ces manifestations, ce sont les chants repris par les centaines de manifestants et plus particulièrement une...L'estaca...que je tenais à partager avec vous et à vous faire connaitre.
En voici une version que j'aime beaucoup
En fait c'est Denis qui aime beaucoup faire des recherches musicales sur le net qui me l'a fait écouter. On a fait des recherches sur son origine.
L'Estaca (c'est-à-dire « le pieu » en catalan) est une chanson composée par le chanteur Lluis Llach en 1968.
Composée durant la dictature du général Franco, c'est un cri à l'unité d'action pour se libérer de l'oppression, pour atteindre la liberté.
Extrêmement populaire en Catalogne aujourd'hui, au point d'être considérée comme partie du folklore populaire, elle a aussi connu un destin international. Elle a eu plusieurs interprétations différentes et a été traduite en plus de cinquante langues.
Voici une version française chantée par Marc Robine
Les paroles évoquent, en prenant la métaphore d'une corde attachée à un pieu (estaca en catalan), le combat des hommes pour la liberté. La scène se passe à l'aube, tandis que le narrateur de la chanson se remémore les paroles d'une conversation entre grand-père Siset (avi Siset) et lui. D'après Siset, seule une action commune peut apporter la liberté : « Si nous tirons tous, il va tomber, si je tire fort vers ici, et que tu tires fort par là, il est certain qu'il tombe, tombe, tombe, et nous pourrons nous libérer » L'idée d'une nécessaire prise de conscience collective pour obtenir la liberté clôt la chanson. Dans la dernière strophe, une fois grand-père Siset mort, son interlocuteur devient responsable de la diffusion des idées de liberté et de lutte auprès des nouvelles générations.
Le grand-père Siset, personnage principal de la chanson, est inspiré d'un personnage réel, Narcís Llansa i Tubau, surnommé avi Llansa ou Siset Llansa.
À partir du début des années 1960, il passa ses étés dans la maison de sa deuxième fille. C'est là que le jeune Lluís Llach, fils du médecin et maire du village, et ami de son petit-fils, l'aurait connu. Le vieil homme et l’adolescent passent du temps ensemble, en particulier à pêcher. C'est lors de ces parties de pêche que le grand-père Siset ouvre les yeux de Lluís Llach sur les fondements et la réalité du régime franquiste.
En 1968, Lluís Llach écrivit les paroles de la chanson, s'inspirant des conversations qu'il avait eues avec Siset.
Après ces deux versions complètement différentes, je ne résiste pas à vous la présenter lors d'une manifestation. Il y a l'ambiance, la foule...
En voici une version que j'aime beaucoup
L'Estaca (c'est-à-dire « le pieu » en catalan) est une chanson composée par le chanteur Lluis Llach en 1968.
Composée durant la dictature du général Franco, c'est un cri à l'unité d'action pour se libérer de l'oppression, pour atteindre la liberté.
Extrêmement populaire en Catalogne aujourd'hui, au point d'être considérée comme partie du folklore populaire, elle a aussi connu un destin international. Elle a eu plusieurs interprétations différentes et a été traduite en plus de cinquante langues.
Voici une version française chantée par Marc Robine
Les paroles évoquent, en prenant la métaphore d'une corde attachée à un pieu (estaca en catalan), le combat des hommes pour la liberté. La scène se passe à l'aube, tandis que le narrateur de la chanson se remémore les paroles d'une conversation entre grand-père Siset (avi Siset) et lui. D'après Siset, seule une action commune peut apporter la liberté : « Si nous tirons tous, il va tomber, si je tire fort vers ici, et que tu tires fort par là, il est certain qu'il tombe, tombe, tombe, et nous pourrons nous libérer » L'idée d'une nécessaire prise de conscience collective pour obtenir la liberté clôt la chanson. Dans la dernière strophe, une fois grand-père Siset mort, son interlocuteur devient responsable de la diffusion des idées de liberté et de lutte auprès des nouvelles générations.
Le grand-père Siset, personnage principal de la chanson, est inspiré d'un personnage réel, Narcís Llansa i Tubau, surnommé avi Llansa ou Siset Llansa.
À partir du début des années 1960, il passa ses étés dans la maison de sa deuxième fille. C'est là que le jeune Lluís Llach, fils du médecin et maire du village, et ami de son petit-fils, l'aurait connu. Le vieil homme et l’adolescent passent du temps ensemble, en particulier à pêcher. C'est lors de ces parties de pêche que le grand-père Siset ouvre les yeux de Lluís Llach sur les fondements et la réalité du régime franquiste.
En 1968, Lluís Llach écrivit les paroles de la chanson, s'inspirant des conversations qu'il avait eues avec Siset.
Après ces deux versions complètement différentes, je ne résiste pas à vous la présenter lors d'une manifestation. Il y a l'ambiance, la foule...
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