mardi 12 novembre 2019

Une semaine intense...Jour 4 5 6

Après ces trois premières journées de visites intensives, on aspire à un peu de repos. Cette 4ème journée sera tranquille et uniquement sur Arrecife.
Petite promenade au centre ville.


 Les petites ruelles sympa du quartier des pêcheurs

 Le Charco
Et après un petit resto, visite du Castillo San Jose...musée d'art contemporain







 et un bon p'tit caf face à la mer. Le top.

 Jour 5. On reprend la route. Direction la playa Quemada. Pas très connue mais mignonne comme tout.




 
 Oh là là....j'irais bien...j'irais bien, j'irais bien!!!

 Trop belle cette petite plage!!!


 Puis montée vers le village de Femès où on découvre toute la vallée.



Dégustation de fromages de chèvre...trop trop bon!!!
Puis redescente sur l'autre versant pour se rendre à la playa de Papagayos



 Beau mouillage et au loin le port de Rubicon

 Allez Frédéric..dépêche toi...tu vas pouvoir enfin le prendre ce bon bain!!!


 

Sixième et dernier jour...le centre de l'île
La route des vins, la Geria, les visites de cave et dégustations...encore une journée bien sympa.
  Malgré l'absence de nappe phréatique et de pluie, la culture de la vigne est pratiquée sur l'île volcanique. Les murets de pierre protègent les ceps du vent fréquent .


Le vignoble de La Geria, dans la moitié sud de l'île, est connu non seulement pour son vin mais aussi pour sa technique de plantation dans des dépôts volcaniques (fins graviers noirs, cendres) datant des éruptions du Timanfaya entre 1730 et 1734 et ayant recouvert des sols agricoles antérieurs sur une épaisseur de un à trois mètres. Dans la couche meuble, les viticulteurs creusent, jusqu'à la terre argileuse, des dépressions circulaires (hoyos), en forme d'entonnoir, dont le fond accueillera le cep de vigne et les pentes recueilleront l'eau de pluie et la rosée, ou encore des tranchées (zanjas). Lorsque la couche meuble est peu épaisse et que l'entonnoir est peu profond, les paysans élèvent, sur le côté d'où souffle le vent saharien desséchant, un muret de pierres crues en demi-lune pour protéger la vigne. Le résultat est un paysage singulier, évoquant des écailles grises (la cendre volcanique) portant chacune un liseré clair (le muret coupe-vent, dit soco ou goro) autour d'une tache verte (le cep de vigne).










 A la vôtre les loulou!!!!

 Petit arrêt au Campesino pour le repas et visiter le musée et monument consacrés à l'histoire agricole locale.
Et voilà, les vacances se terminent pour Frédéric et nous sommes vraiment contents du déroulement de celles-ci. C'étaient vraiment super et nous avons découvert une île avec des paysages grandioses et hors du commun. 
Hein oui....c'était bien!!!!


vendredi 8 novembre 2019

Une semaine intense Jour 3...le volcan

En route pour le Timanfaya. C'est le nom donné au parc qui a été créé en 1974, et est ainsi le huitième parc national d'Espagne.
Il est également appelé Montañas del Fuego (« montagnes du feu »).
 L'île de Lanzarote a une superficie d'environ 845 km2 et est recouverte aux trois quarts avec de la lave produite par plus de trois cents cratères appartenant à cent volcans. Les éruptions majeures ont eu lieu pendant une durée de six ans du au et ont recouvert environ 167 km2 de Lanzarote. Au regard de la quantité de lave rejetée et de la durée de ces éruptions, celles-ci figurent parmi les éruptions les plus importantes de l'histoire du volcanisme. En parallèle, les éruptions à terre furent accompagnées de nombreux séismes sous-marins.
 Le parc s'étend de la limite de la commune de Yaiza  jusqu'à la Montaña Timanfaya. À l'ouest, il est limité par la côte. Cet endroit a vu la naissance de trente-deux cônes volcaniques. Avant les éruptions volcaniques, cette immense étendue recouverte aujourd'hui par une plaine de lave figurait parmi les terres les plus fertiles de Lanzarote. Après la catastrophe, ces terres furent recouvertes par 8 millions de mètres cubes de lave et 420 maisons furent ensevelies.De nombreux villages et terres agricoles furent détruits.
Les volcans qui composent le parc national de Timanfaya sont du type hawaïen.
Les dernières éruptions volcaniques sur l'île eurent lieu en 1824. Le de cette année-là, le volcan Clérigo Duarte est entré en éruption. La coulée de lave s'étendait sur plus de 14 km et, près de Punte del Cochino, elle s'est écoulée dans la mer.
 Le parc national est accessible grâce à de bonnes routes asphaltées qui ont été aménagées à l'occasion de la visite du général Franco en 1950.
C'est où????

C'est par là!!!!!



 Après avoir passé l'entrée du parc puis visité le centre d'interprétation qui nous apprend beaucoup de choses sur les volcans, nous voici sur la route qui donne accès au parking du parc...comme vous le voyez, on est pas arrivé, mais cela nous laisse le temps d'admirer le paysage. Frédéric, très fan de géologie et de volcanisme, est aux anges, et l'attente ne le dérange pas du tout.
A notre arrivée, des bus nous attendent pour effectuer un circuit de 14 kms à travers lave et cratères.













 Il n'en perd pas une miette!!!










 Les buissons d'Aulaga majorera sont utilisés par les employés du parc pour mettre en évidence la grande température du sol près de Islote de Hilario. Les branchages enfoncés dans un trou dans le sol s'enflamment immédiatement. Une autre démonstration est faite aux touristes en versant le contenu d'un seau d'eau dans un tuyau enfoncé verticalement dans le sol. Comme la croûte terrestre atteint à peine deux mètres à cet endroit et qu'en dessous la température dépasse 400 °C, l'eau est éjectée violemment du sol sous forme d'une fontaine de vapeur. À l'ouest du cratère principal de la Montaña del Fuego la température atteint 700 °C à une profondeur de 27 mètres. C'est près de cet endroit que l'artiste  César Manrique a fait construire le restaurant panoramique El Diablo (« le Diable ») qui utilise un grill situé au-dessus d'une cheminée volcanique.






 Au menu, les cuisses de poulet cuites avec la chaleur de la lave...très très bon.
 
 Après cette belle visite, descente vers la côte et les salines de Janubio








Puis nous longeons la côte en se dirigeant vers El Golfo

 Le Lago verde
Pour plus d'explications sur ce site, c'est par là...cliquez sur le relais ci-dessous
lago-verde-lanzarote

 



Pour terminer arrêt à Los Herbideros







 
Waouh!!!! que dire de cette journée!!!! on est ko mais qu'est-ce-que c'était beau!!!