Un achat capital

Eh oui, ça fait plus d'un an que nous n'avons plus de vélos et franchement, ça nous manque. De plus, ici, il y a vraiment de quoi s'éclater alors on fait plusieurs boutiques ... de belles choses mais pas dans nos budgets.
Nous voyons sur internet qu'il y a un Decathlon en périphérie. Nous prenons un bus et hop... c'est parti. On trouve notre bonheur rapidement. Après, on traînera un peu pour les accessoires mais on ressort avec tout ce qu'il nous faut et nous rentrons au bateau en vélos.

Nous profitons de nos nouveaux joujoux pour faire une belle virée sur la digue.

 

L'aménagement de celle-ci est géniale... un coté vert pour les coureurs et les marcheurs, un coté rouge pour les rolleurs et les cyclistes.

Au milieu, une bande bitumée pour les voitures d'entretien.

 

Allez... c'est parti... on en voit pas le bout!!!

On longe tout le port industriel

 Le port de Tarragone est le premier port de marchandises de l'État espagnol. La ville abrite également le plus grand centre pétrochimique d'Espagne

Au XVème siècle

En plus du commerce (blé, huile, vin, textile, fruits secs…) Tarragone comptait quelques pêcheurs (consommation locale). On estime la production entre 150 et 180 tonnes annuelles (au début du XV^{ème siècle).}

Le port de Tarragone était aussi un port militaire d’où partirent des expéditions pour Majorque et la Sicile. Quelques galères sortirent de ce port.

De façon marginale, Tarragone fut aussi une base corsaire souvent dirigée contre les pays arabes même si cette activité était vivement désapprouvée par les autorités locales.

On se croirait à Pont à Mousson!!!

La mer en plus...

Le XVIII^{èmesiècle est une période prospère. La production de vin est multipliée par 10 en 100 ans.}

Un autre produit va avoir un développement considérable : les fruits secs.

La production industrielle augmente en conséquence

On est pas au bout ... ce phare n'est plus en fonction.

Le vieux Far de la Banya est le seul existant encore des trois phares métalliques du 19e siècle qui servaient à guider la navigation dans l’estuaire de l’Èbre. Il a été reconverti en en 2003 en musée des phares et permet de découvrir de nombreux objets de surveillance et signalisation maritime.

Malheureusement, il est fermé pour le moment.

Ça y est, on y est.

 

Aller retour jusqu'au bateau... 10kms...on n'a plus l'habitude et malgré nos selles rembourrées, on a mal aux fesses.

Waouh... tout ça... dans l'autre sens...

Déjà!!!! Tchao , on rentre.