Notre circuit se termine toujours par les terres bretonnes.Dès notre arrivée, le week end est bien chargé. Samedi matin, nous partons pour Coueron.
Véritable symbole de la Ville, la Tour à plomb de Couëron a été construite entre 1875 et 1877 pour produire des plomb de chasse. Elle est aujourd’hui l’une des dernières de France et est classée monument historique.
Après différentes fusions, l’usine - dénommée Pongibaud puis Tréfimétaux - a fermé en 1988.
L’usine tréfimétaux est alors acquise par la Ville à la fin des années 80, pour être réhabilitée et transformée en un espace culturel et associatif en 2009
Sur les bords de Loire, en face de l’estacade, se trouve la Maison dans la Loire.
Cette imposante bâtisse à deux étages qui semble échouée sur la rive sud de la Loire est une œuvre créée par Jean-Luc Courcoult dans le cadre de la manifestation artistique Estuaire qui la décrit ainsi :
“C’est une maison dont les fondations capturées par la vase penchent légèrement, volets fermés, comme une épave inhabitée. Elle semble aussi solitaire que nous le sommes de temps à autre dans la nature. Image réaliste et poétique, concrète, secrète, silencieuse, cette maison endormie sur la Loire pourrait être un tableau, une peinture en trois dimensions déposée dans le temps. Immobile.”
La Maison est le double architectural de l’ancienne auberge située sur le port de Lavau-sur-Loire, commune où elle fut tout d’abord reçue, nichée dans le lit du fleuve. Le tumulte des eaux l’ayant alors défiée, puis finalement vaincue, la Maison dans la Loire a définitivement pris ses quartiers face à Couëron où elle s’ancre désormais solidement.
En harmonie avec le passé industriel de la Ville et son riche patrimoine naturel, elle fait désormais partie du paysage fluvial couëronnais.
C'est une plante menacée et protégée (au niveau européen). Elle fait notamment l'objet d'un « plan de conservation global en faveur de l’angélique des estuaires dans l’estuaire de la Loire ».
Apres une belle promenade sur ces bords de Loire, retour à Nantes pour un petit resto bistrot bien sympathique.
Apres, Richard et Erwan m'avaient inscrit à un atelier "crochet" chez Henry et Henriette la boutique de création incontournable sur Nantes.
Et voici ma petite création:
un cache pot amigurumi.
Franchement, c'était très sympa et j'ai passé un agréable moment.
Et pour finir la journée... apéro dinatoire chez un couple ami qui fêtait un anniversaire. Retour tardif et dimanche.... repos!!!
Le dimanche suivant, belle Promenade sur les quais et petit détour pour voir les machines de l'île.
Au retour, arrêt au mémorial de l'abolition de l'esclavage.
Vous pouvez cliquer sur ce site pour voir l'histoire de Nantes, premier port négrier de France.
http://memorial.nantes.fr/le-memorial/nantes-face-a-son-histoire/
Un petit tour au passage Pommerey pour faire quelques courses avant le départ.
Après différentes fusions, l’usine - dénommée Pongibaud puis Tréfimétaux - a fermé en 1988.
L’usine tréfimétaux est alors acquise par la Ville à la fin des années 80, pour être réhabilitée et transformée en un espace culturel et associatif en 2009
En direction de l'estuaire depuis Nantes, Couëron offre un point de vue unique sur la Loire. La Tour de Plomb, que l'on distingue à droite de la photo, est un témoin de la grande époque industrielle de Couëron.
Cette imposante bâtisse à deux étages qui semble échouée sur la rive sud de la Loire est une œuvre créée par Jean-Luc Courcoult dans le cadre de la manifestation artistique Estuaire qui la décrit ainsi :
“C’est une maison dont les fondations capturées par la vase penchent légèrement, volets fermés, comme une épave inhabitée. Elle semble aussi solitaire que nous le sommes de temps à autre dans la nature. Image réaliste et poétique, concrète, secrète, silencieuse, cette maison endormie sur la Loire pourrait être un tableau, une peinture en trois dimensions déposée dans le temps. Immobile.”
La Maison est le double architectural de l’ancienne auberge située sur le port de Lavau-sur-Loire, commune où elle fut tout d’abord reçue, nichée dans le lit du fleuve. Le tumulte des eaux l’ayant alors défiée, puis finalement vaincue, la Maison dans la Loire a définitivement pris ses quartiers face à Couëron où elle s’ancre désormais solidement.
En harmonie avec le passé industriel de la Ville et son riche patrimoine naturel, elle fait désormais partie du paysage fluvial couëronnais.
Les vastes zones humides regorgent de nombreuses variétés de plantes. Au moins 600 espèces différentes furent répertoriées. Parmi celles-ci, l'angélique des estuaires.
Il s'agit d'une plante endémique de la France. Son aire géographique naturelle se limite aux grands estuaires du littoral atlantique soumis à la marée. Elle n'est ainsi connue dans le monde que dans les seuls estuaires de la Loire, de la Charente, de la Gironde et de l'AdourC'est une plante menacée et protégée (au niveau européen). Elle fait notamment l'objet d'un « plan de conservation global en faveur de l’angélique des estuaires dans l’estuaire de la Loire ».
Apres une belle promenade sur ces bords de Loire, retour à Nantes pour un petit resto bistrot bien sympathique.
Apres, Richard et Erwan m'avaient inscrit à un atelier "crochet" chez Henry et Henriette la boutique de création incontournable sur Nantes.
Et voici ma petite création:
un cache pot amigurumi.
Franchement, c'était très sympa et j'ai passé un agréable moment.
Et pour finir la journée... apéro dinatoire chez un couple ami qui fêtait un anniversaire. Retour tardif et dimanche.... repos!!!
Le dimanche suivant, belle Promenade sur les quais et petit détour pour voir les machines de l'île.
Dalles dans le sol aux noms de tous les bateaux négriers partis de Nantes.
Vous pouvez cliquer sur ce site pour voir l'histoire de Nantes, premier port négrier de France.
http://memorial.nantes.fr/le-memorial/nantes-face-a-son-histoire/
Un petit tour au passage Pommerey pour faire quelques courses avant le départ.
Et oui, notre séjour touche à sa fin... en plus, les travaux prévus dans l'appartement son finis... les peintures sont nickel.
Tchao les loulous... on se revoit vite.... R.V. aux Baléares.
C'était super.
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