La grande cheminée domine la ville et se voit de loin...comme un phare...pour nous guider jusqu'à elle.
Fresque à l'entrée de l'usine résumant toutes les étapes de fabrication jusqu'à la dégustation.
Bouteille sur coiffe portée lors du dernier carnaval
Dommage, les explications étaient en espagnol et nous n'avons pas tout compris. Heureusement, Sandrine était là pour nous traduire le plus important.
On termine par la dégustation et bien sûr quelques achats. Il y a naturellement les bouteilles de rhum traditionnel, et d'âges différents mais pour booster les ventes, la société a développé une gamme de rhum aromatisé et de liqueur originale vers lesquels nous nous sommes tournés...un rhum gin goyave et mangue et une liqueur au bienmesabe...sorte de dessert à base d'amandes, de sucre, de jaune d'œuf, de zeste de citron, de cannelle en poudre et parfois de malvoisie douce.
Après cette visite bien agréable, nous filons vers Galdar, pensant pouvoir visiter le musée archéologique qui est, parait-il très intéressant. Malheureusement, à cause du covid, le nombre de places est limité et pour aujourd'hui, c'est full...
Alors on visite la ville et on a la bonne surprise de voir les rues décorées de compositions florales pour remplacer les fêtes de corpus christi...qui n'auront pas lieu pour la deuxième année consécutive à cause du covid!!!
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Décor devant l'office du tourisme. Le plus vieux dragonnier de Gran Canaria âgé de 303 ans et le plafond en escargot du magnifique petit théâtre.
Galdar est également une ville de départ (ou d'arrivée) du chemin de Compostelle. La coquille est présente sur les pavés de la place de l'église. En 1965 le pape Jean XXIII aurait, par bulle papale, accordé à Santiago de Galdar le privilège de célébrer cette année jacquaire, comme à Santiago sur le continent. En tous les cas c’est ce que l’on peut lire un peu de partout sur la toile. Mais privilège il y a, privilège restera et deviendra in perpetuum, à l’initiative de Jean Paul II en 1992. On peut donc classer ce chemin de Saint Jacques de Compostelle aux îles Canaries, comme un chemin bel et bien historique, décisions papales obligent.
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Retour à la casa après une petite visite au musée Antonio Padron, célèbre peintre canarien. Très intéressant et très bien expliqué par un jeune étudiant qui nous a gentiment expliqué tout sur les oeuvres exposées.
Vraiment sympa cette journée visite dans le nord.
Prochain post...le sud!!!
HASTA LUEGO
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